La Réalité Virtuelle au Jump Virtual Arena à Orléans [ Test et avis de Kidiklik ]

Dès l'arrivée dans la salle, les enfants sont très impatients de commencer ! Sur 120 m², deux espaces accueillent les joueurs : l’espace multi-games avec 4 Pods et le carré eSport avec le jeu AFTER-H (jeu de tir à la première personne). Au total, ce sont donc huit stations et un catalogue de près de 30 expériences.

Pour nous accompagner dans cette aventure, deux animateurs sont présents en continu sur les stands afin d’aider les joueurs et les orienter dans leur choix.

Allez, on enfile les casques, on prend les manettes, et c’est parti !

Les quatre adolescents de l’équipe investissent la scène de 10m² dédiée au jeu AFTER-H. Immédiatement très à l’aise avec le matériel, ils sont attentifs aux explications pour commencer le jeu au plus vite. « Là, tu recharges ton pistolet » explique Alix qui accompagnera les ados pendant leurs parties.

À coup de balles mais aussi de vannes en tout genre, les adolescents s’affrontent dans les ruines d’une base martienne. Lors de cette séance, ils ont joué en solo mais l'aventure peut aussi se vivre en équipe de deux.

Le verdict tombe au bout de 40 minutes de jeu : « J’avais déjà testé la réalité virtuelle avec un téléphone et un bloc carton mais là, ça n’a rien à voir ! C’est ultra immersif » nous confie l’un des ado-reporters qui poursuit «  et puis, c’est pas gore car y’a pas de sang et ça n’fait pas peur ! »

Pendant ce temps, les 4 plus jeunes testeurs de 8 à 11 ans sont aux stands individuels avec Eric. Pour commencer, il leur propose une expérience immersive assez courte pour se familiariser avec la réalité virtuelle : avec le jeu « Gravity », les enfants se retrouvent dans la peau d’un astronaute.

« Ça y’est, j’ai un câble ! Et j’ai réussi ma mission ! » lance fièrement un des enfants qui souhaitera revivre cette expérience une deuxième fois, tellement il a aimé.

Pendant l'aventure, les accompagnateurs peuvent suivre l'aventure grâce aux écrans qui montrent ce que voit le joueur.

De son côté, Léa, 9 ans, est mal-à-l’aise et préfère arrêter l’expérience «  ça fait une sensation bizarre, on dirait vraiment que c’est maintenant ici présent » explique-t-elle avec ses mots. Il est vrai que l’illusion est parfaite et que le cerveau s’y méprend. Pas de souci, notre jeune kidi-reporter fait une pause quelques minutes et testera ensuite le dessin en 3D (Masterpiece VR) qui lui correspondra mieux. En trois coups de crayons, notre petite dessinatrice réalise un magnifique coeur en relief ! Quelle artiste !

Le jeu IndyRun, très rapide mais avec un univers très coloré proche des dessins animés, lui plaira aussi énormément.

Acteurs du jeu, les enfants se déplacent, bougent et sautent. En jouant à IndyRun, Stéphanie, 11 ans, lève les bras pour attraper des pièces d’or, évite les pièges en se baissant, bouge dans tous les sens et finit hilare… sur les fesses !

Joues rouges, visages en sueur,... les enfants se sont vraiment dépensés pendant leur session ! Enfin, il leur reste encore de l’énergie pour aller sauter et faire des figures puisque Jump Virtual Arena, c’est aussi un parc à trampolines !

Respectez les conseils des animateurs, notamment sur la limite d'âge : plusieurs jeux sont accessibles dès 8 ans dans les stands tandis qu'After-H est réservé aux plus de 12 ans.

Une session de 15 minutes suffira la première fois car les enfants sont plus vite impressionnés. Et complétez ensuite avec l’espace trampoline.

Pour se familiariser avec la réalité virtuelle, commencez par les jeux contemplatifs comme Top Floor ou Gravity.

Avec votre adolescent, n’hésitez pas à jouer avec lui pour intégrer son univers !

Le Jump Vitual Arena se compose d’un parc à trampolines et d’un espace de jeu pour la réalité virtuelle. Des jeux d’arcade sont également présents sur place. Un lieu pratique pour les familles avec plusieurs enfants puisque toute la fratrie y trouvera de quoi se faire plaisir.
Adresse : 23/25 avenue de la Libération, 45000 Orléans
Tarifs Réalité Virtuelle : 9€ pour 15 min / 16€ pour 30 min / 25€ pour 1h

// Reportage réalisé en 2019 //